Depuis le 1er octobre, les contrôles de drogue pour les automobilistes seront facilités en Belgique. Les policiers pourront désormais soumettre un conducteur à un test salivaire dès l’identification d’un seul signe de consommation, comme la possession de drogue ou un aveu, alors qu’auparavant trois signes étaient nécessaires.
Une nouvelle rubrique sera ajoutée à la check-list des policiers pour signaler un état d’ivresse ou similaire, même si le test ne détecte pas la drogue, ce qui permet de poursuivre certains cas, comme pour la kétamine ou les drogues de synthèse.
La conduite sous influence reste une cause majeure d’accidents, avec environ 33 conducteurs par jour pris en flagrant délit de consommation de drogue en Belgique.