La Cour de cassation a rappelé le 21 septembre dernier que la notification par l’assureur de sa décision d’indemniser ou de son refus, pour mettre fin à l’effet interruptif, doit être claire et non équivoque. Par conséquent, le fait pour le juge de considérer que les faits postérieurs à la dernière lettre où l’assureur marquait son accord avec l’idée d’indemniser les dommages, ne sont pas pertinents en ce que le document mettait fin à l’interruption du délai de prescription, omet de vérifier si la personne lésée pouvait en déduire que les négociations avaient définitivement pris fin, et ne justifie pas légalement sa décision.

Les actualités

Retrouvez toutes les actualités juridiques du cabinet

Dégivrer moteur allumé ou conduire en manteau : ces gestes risqués (et sanctionnés)

droit assurance belgique

Conférence : La preuve en droit des assurances avec Me Lefevre

Plus d'actualités

Contactez-nous !
Nous restons à votre disposition afin de répondons à vos demandes dans les plus brefs délais.

Notre équipe d’avocats expérimentés est à votre écoute!